L’opium du peuple dans le monde actuel n’est peut-être pas tant la religion que l’ennemi accepté… Un tel monde est à la merci, il faut le savoir, de ceux qui fournissent un semblant d’issue à l’ennui. La vie humaine aspire aux passions et retrouve ses exigences.
Tu es belle comme on tue
Le coeur démesuré j’étouffe
Ton ventre est nu comme la nuit
Ma putain
Mon coeur
Je t’aime comme on chie
Trempe ton cul dans l’orage
Entouré d’éclairs
C’est la foudre qui te baise
Un fou brame dans la nuit
qui bande comme un cerf
Ô mort je suis ce cerf
Que dévorent les chiens
La mort éjacule en sang
— Mademoiselle Mon Coeur
Voir aussi l’album L’Or d’Eros d’Arthur H et Nicolas Repac.
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